Figure legend :
To characterize the cellular diversity of the skeletal muscle, we performed mass cytometry (CyTOF) on mononuclear cell suspensions obtained from adult mouse hindlimb muscles. Shown here is the analysis of the CyTOF dataset using the X-shift algorithm paired with single-cell force-directed layout visualization. Each cluster was annotated based on the expression of marker genes in the different major cell types. Clusters sharing the same canonical markers are depicted with the same color.
La régénération des muscles squelettiques repose sur les interactions orchestrées entre les cellules souches musculaires et les autres cellules qui résident ou envahissent le tissu blessé. Ces interactions, médiées par des voies de signalisation, contrôlent les fonctions et les transformations phénotypiques des cellules souches en réponse aux signaux environnementaux.
Des perturbations dans l’architecture de cet hyper-réseau mènent généralement à des défauts de régénération. De plus, les composantes nécessaires à la construction de la niche « régénérative » des cellules souches sont mal connus. L’équipe SPaSM réunit des expertises en biologie fondamentale et en recherche translationnelle pour comprendre la régénération musculaires par une approche multi-échelle. Nous nous concentrons sur les voies de signalisation déployées au cours de la régénération du muscle squelettique dans le but de développer de nouvelles stratégies thérapeutiques pour les dystrophies musculaires.
Notre recherche s’articule autour de trois objectifs :
i/ En utilisant des technologies « single cell », nous cartographions la composition cellulaire des muscles striées (séquençage de l’ARN, cytométrie de masse) au cours du développement, de la régénération, du vieillissement et dans les modèles murins de dystrophies musculaires.
ii/ Nous étudions la dynamique du cytosquelette suite à la modulations de voies de signalisation extracellulaire pour comprendre les signaux qui régulent la fusion des myoblastes squelettiques.
iii/ Nous avons observé de les signaux Wnt/ß-caténine et Tgfß étaient sur-activés dans le tissu musculaire au cours du vieillissement et dans les dystrophies musculaires. Nous déchiffrons à présent les conséquences fonctionnelles de ces perturbations.
Institut NeuroMyoGène UCBL – CNRS UMR 5310 – INSERM U1217
Faculté de Médecine et de Pharmacie –
3ème étage – Aile B
8 avenue Rockefeller
69008 Lyon France